Buzz
Partager sur

TPMP : Enora Malagré confie au sujet de Nabilla « je ne suis pas inquiète pour elle »

TPMP : Enora Malagré confie au sujet de Nabilla « je ne suis pas inquiète pour elle »

La chroniqueuse de « TPMP » n'est pas inquiète pour Nabilla Benattia

Enora Malagré n’a pas sa langue dans sa poche. La chroniqueuse de TPMP n’hésite jamais à dire ce qu’elle pense. Et si son fort caractère est très apprécié sur le plateau de l’émission, la jeune femme demeure tout de même une femme fragile qui à des inquiétudes comme les autres femmes et aimerait fonder une famille loin de la télévision et de la vie parisienne.

Afin de se dévoiler d’avantages, la chroniqueuse a donné une interview à Paris Match Je parais très forte comme ça mais j’ai beaucoup de mal avec la pression. J’ai beaucoup de mal avec la notoriété (…) Ça se terminera au milieu de deux ou trois biquettes en Bretagne, avec, je l’espère, beaucoup d’enfants. a confié Enora Malagré.

Et si son travail lui tient très à cœur, la chroniqueuse a donc des projets plutôt simples. Toutefois, pour l’instant la jeune femme aime son métier et compte perdurer à la télévision. D’ailleurs, la jeune femme rêve d’interviewer des personnalités politiques tel que Nicolas Sarkozy ou François Hollande. Quant à Marine Lepen, elle avoue j’aimerais interviewer Marine Le Pen mais je pense que j’aurais trop de colère encore pour l’interviewer.

TPMP : Nabilla a de la ressource

Interrogé au sujet de Nabilla, Enora Malagré s’est liée d’amitié avec la jeune femme. Si au début elle avait certains a priori comme le chroniqueur Bertrand Chameroy, a présent elle apprécie la starlette On découvrait une jeune femme que moi j’appréciais de plus en plus, qui était plutôt assez touchante… Je partais avec un mauvais à priori bien sûr mais on se découvrait, je la prenais comme une petite sœur. Je ne suis pas inquiète, elle a de la ressource a-t-elle déclaré.

En attendant, Enora Malagré bénéficie d’une bonne visibilité sur TPMP. L’émission continue de cartonner malgré les critiques comme celles d’Harry Roselmack.

Afficher +