Cette étude a été faite sur les quartiers dits « chauds » de Chicago. Elle est menée par l’université de Virginie et permettrait de prévoir les agressions ou les délits en fonction de la nature des tweets émis. Farfelue au premier abord, elle semble plutôt sérieuse et est appuyée par des sociologues.
Les réseaux sociaux regorgent d’une multitude d’informations, par exemple Facebook serai capable de savoir si votre couple bat de l’aile ou non. Comment ? En recoupant vos discutions avec d’hypothétiques conquêtes et en faisant une moyenne avec les discussions menées avec votre copine.
Aujourd’hui les études portent sur la criminalité. Dans le collimateur des scientifiques, les petits délits et infractions mineures. Ces analyses permettraient de prédire 19 à 25 formes d’infractions ou de délits comme le vol, le harcèlement ou d’autre type d’agressions. Les travaux de recherches menés par l’université de Virginie ont été publiés dans le journal scientifique Decision Support Systems et n’ont pas été critiqués par le milieu.
Twitter aide à la redistribution budgétaire
Le tweet est une activité quotidienne et régulière, il fait partie de la vie courant de ses utilisateurs. Si une personne déclare sortir dans un certain bar pour se soûler et que de nombreuses autres personnes tweetent la même chose, l’analyse de ces messages permettra de prédire un certain nombre d’infractions liées à l’alcool.
Ce type d’étude peut aider à la répartition du budget mais aussi et surtout la police en terme de déploiement d’hommes sur le terrain.
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