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The Legend of Zelda, Final Fantasy … Les pires spinoffs de l’histoire du jeu vidéo

De nombreuses licences du jeu vidéo ont eu droit à des spinoffs, qu'il s'agisse de The Legend of Zelda ou Final Fantasy, pour un résultat rarement concluant.

Les spinoffs sont des jeux à part entière. Ceux-ci reprennent un élément, souvent un personnage plus ou moins secondaire, afin de centrer un jeu exclusivement sur eux. Mais le genre n’est pas propre au jeu-vidéo. En effet, de nombreuses séries ainsi que des films y ont eu droit.

Cependant, c’est bien dans l’industrie du jeu-vidéo que les pires spinoffs ont pu voir le jour. Voici les pires d’entre eux.

Zelda: the Wand of Gamelon

En plus d’être un des plus mauvais spinoffs de l’histoire, the Wand of Gamelon est un très mauvais jeu. Sorti sur CD-i, un échec commercial, le titre permet d’incarner la princesse Zelda pour la première fois. Doublages douteux, animations cauchemardesques, un peu de second degré permettra néanmoins de ne pas totalement détester cet opus.

Dirge of Cerberus: Final Fantasy VII

Voilà un titre qui avait pourtant tout pour réussir. Basé sur les aventures de Vincent dans FF VII, ce jeu d’action ne parvient pas à captiver, et ce malgré un scénario intéressant. A moins d’être un fan inconditionné du titre sorti sur PlayStation, Dirge of Cerberus ne devrait pas marquer l’histoire du jeu-vidéo.

Shadow the Hedgehog

Bien connu des amateurs de Sonic, son rival Shadow a eu la chance d’avoir un jeu à son effigie. A l’instar de Dirge of Cerberus, seul le scénario parvient à ne pas totalement couler le jeu. Autrement dit, ce n’est pas suffisant pour en faire un bon titre. Visuellement en retard et doté d’une bande son irritante, Shadow the Hedgehog donne l’impression d’avoir été bâclé.

Pac-Man 2: The New Adventures

Outre un concept intriguant, ce spinoff de Pac-Man propose un gameplay complètement à côté du support de base. Ainsi, plus question de fouiller les labyrinthes en évitant les fantômes. Cette fois, il s’agit d’un jeu de plateforme qui, malgré de jolis graphismes, ne parvient pas à faire oublier son caractère répétitif.

Street Fighter 2010: Final Fight

Un tel titre promettait difficilement d’être un hit. Ce jeu de plateforme permet d’incarner Ken du futur, à moitié cyborg. Si les graphismes n’ont rien de scandaleux, la difficulté rend le jeu injouable et ne donne pas envie de poursuivre. C’est d’autant plus vrai qu’il n’y absolument aucun système de sauvegarde.

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